Valérie Lamarre

Retour

Acryliques : Géométries variables (2017/2018)

D’Euclide à Gauss en passant par Sommerville ou Poincaré ou – pour le dire autrement – de Giotto à Klee en passant par Sonia Delaunay, Calder ou l’Op’art, la « géométrie » façonne notre regard et nous ne pouvons nous détacher de ces formes qui tendent à représenter … ou ne pas représenter. Parfois, elles dévoilent un visage, d’autres fois, le plus souvent, elles ouvrent des imaginaires en partageant des espaces superposés, délimités comme autant d’univers. Il suffit de se laisser prendre par l’1 D’Euclide à Gauss en passant par Sommerville ou Poincaré ou – pour le dire autrement – de Giotto à Klee en passant par Sonia Delaunay, Calder ou l’Op’art, la « géométrie » façonne notre regard et nous ne pouvons nous détacher de ces formes qui tendent à représenter … ou ne pas représenter. Parfois, elles dévoilent un visage, d’autres fois, le plus souvent, elles ouvrent des imaginaires en partageant des espaces superposés, délimités comme autant d’univers. Il suffit de se laisser prendre par l’éclat, le reflet d’une couleur pour que le clos s’ouvre et que l’intensité de la géométrie nous guide, médiatrice, vers de nouvelles méditations. C’est simple comme une émotion.
Philippe Milbergue
Télécharger

Créé avec Artmajeur