Valérie Lamarre

Dernières toiles
5 oeuvres


Les dernières toiles séjournent ici quelques temps avant de rejoindre leurs galeries respectives.

Acryliques : Hyperceptions
20 oeuvres


Valérie partage ici nos fonds communs d’humanité, ces instants indéfinis, suspendus, absolus, qui nous guident vers des mondes possibles, cachés derrière le sommeil et les rêves. Valérie nous ouvre la porte, à nous d’imaginer la suite. Jérémy Maranne

Acryliques : Les pendules philosophes
18 oeuvres


Qui n’a jamais rêvé la philosophie comme un pendule stable ? Un équilibre parfait entre ce qui nous compose et ce que le monde nous impose ? Un pendule, un mobile, stable dans le mouvement puisque nos vies, le monde, est mouvement ? Chaque toile est, ici, un instantanée de sérénité. Jérémy Maranne

Acryliques : Les murs
18 oeuvres


Valérie, comme vous, comme moi, sait les murs qui se dressent un peu partout, frontière politique à Berlin, frontière économique entre les États-Unis d’Amérique et le Mexique, concentrationnaire au Cambodge d’après Pol Pot, protecteur en Chine ou en Angleterre. De tous temps, nos civilisations construisent des murs rétrogrades contre les « barbares », ceux qui ne parlent pas notre langue, « barbares » que nous sommes aussi pour les autres. Et Valérie ouvre les murs de nos langues singulières et

Acryliques : Les temps modernes
9 oeuvres


Pour une fois que les dieux des forges et des rouages s’amusent un peu, laissons leur la place et profitons du spectacle d’un Héphaïstos qui rougeoie le soir, d’un Gobannus qui se disloque, d’une Velch qui se traine comme l’escargot de Prévert ou encore d’un Vulcain qui s’amuse du Fordisme. Dans cette série, l’hommage aux pantomimes du grand Charlot est omniprésent et, comme il le fit jadis, Valérie habille les duretés mécaniques de sa fantaisie. Jérémy Maranne

Acryliques : Cities
11 oeuvres


Pour Valérie, les villes sont des miroirs et leurs ombres s’enfoncent dans les eaux troubles de la baie d’Hudson, dans le flux de la Seine ou dans le delta du Nil. Elles sont « Cities », mégalopoles, banlieues, urbaines et compactes pour que l’imaginaire, les imaginaires de la nuit s’invitent dans nos espaces. Je les regarde comme je lis Dashiell Hammett, Raymond Chandler, Jean-Patrick Manchette en écoutant Thélonius Monk ou Charlie Parker. Perdez-vous, comme moi, dans les ruelles et les dessous

Acryliques : Les Noctambules
17 oeuvres


Dans l’univers de Valérie, la série des Noctambules est une série très particulière. Elle est l’expression de son regard amusé porté sur l’extraordinaire de nos vies. Jérémy Maranne

Acryliques : Démons et merveilles
17 oeuvres


Qui, en dehors de Valérie, imaginerait le peuple des démons comme ici ? Lumineux. Luxuriant. Ludique. L’enfer est parfumé d’étonnantes couleurs que portent hauts et fier les anges déchus. Jérémy Maranne

Acryliques : Maisons Usher
16 oeuvres


Dans cette série, le noir vol du quotidien vient fissurer l’espace, le temps, nos mondes pour l’engloutir comme fut engloutie la maison Usher. Avec ces allégories, Valérie poursuit son travail sur l’abstraction figurative. Jérémy Maranne

Acryliques : D'ici et d'ailleurs
20 oeuvres


Shanna, Tamako, Yumna ... Autant de rencontres autant de portraits. Chaque visage nous emmène dans une géographie toute personnelle où le charme de la jeunesse côtoie la beauté de nos anciens. Jérémy Maranne

Acryliques : Steampunk
3 oeuvres


Quel sera notre futur ? Sera-t-il celui de la désolation écologique décrite dans Aqua ? La surpopulation de Soleil Vert ? L’enfant d’une uchronie post-industrielle ? Ou un peu tout cela, si les conflits ne conduisent pas au conflit ultime ? Pour Valérie, ce futur se dessine par le boulon, l’écrou, la roue dentelée, la mécanique et le métallique. Le monde est celui des Temps Modernes et nous sommes tous dans ses rouages à tenter de désaxer les engrenages absurdes de notre société. Esthétiquement

Acryliques : Les cantatrices
5 oeuvres


La peinture, comme la musique, est avant tout une question de rythmes. La peinture, comme la musique, utilise les masses, les tons, les blancs et les blanches de lumières, les noirs et les noires d’absence, les points suspendus, les silences, les éclats, les fulgurances, les corps et les voix sensibles pour tisser des mondes de relations particulières, d’émotions partagées. Chagall et Stravinsky, Chopin et Delacroix, Cocteau et Satie, Schönberg et Kandinsky inventant l’audition colorée : jaune d

Acryliques : Q
9 oeuvres


Qui sont ces femmes du bord de mer ? Du bord de terre ? Femmes détournées ou femmes retournées ? À l’arrêt ? Sous le vent ? L’F M R n’est pas loin. Dans l’instant. Dans l’attente. La marée les retient, ces captives du petit matin, sorties nues ou presque sur d’improbables balcons. J’attendrai qu’elles se retournent pour leurs parler. Jérémy Maranne

Acryliques : Histoires
29 oeuvres


Les « Histoires » de Valérie nous entrainent dans des mondes parallèles où les narrations se devinent entre ces lignes, ces aplats, ces croissements, ces matières. Tout est une question de rencontres et Valérie les aborde comme des scènes de genres, nous laissant la part la plus belle en imagination. Jérémy Maranne

Acryliques : Khâos
6 oeuvres


Avant toute chose, fut le Khâos qui de son immobilité électrique et fusionnelle donna naissance à Gaïa, cette Terre aux larges flancs, à jamais offerte à tous les vivants, à Ouranos, le ciel de nos espérances, le rêve de nos envolés, à Héméra et sa lumière infiniment chaude et douce, à Érèbe et sa femme la sombre Nuit, et leur enfant le triste Thanatos porteur de nos doutes. De Khâos, immobile et fusionnel, naquit Éros le plus beau des immortels, qui rompt les membres, qui nous enfièvre le cœur

Acryliques : Explosions
8 oeuvres


Briser sa coquille, disperser ses émotions, fleurs de pissenlits éclatées comme les vitraux de la Sagrada Familia, baroques et éphémères, les explosions de Valérie concentrent ses humeurs. Sous la douceur de ses « pendules philosophes », les rouages des « Temps Modernes », l’alphabet des « Q », couvent le feu et la lave. Elles sont comme autant d’éclats au cœur des « Cities », et libèrent cette énergie qui meut Valérie comme autant de volcans – soupapes à notre époque, réponses aux violences quo

Acryliques : Les voyages de Cyrano
16 oeuvres


Ces voyages sont des routes vers des rivages peuplés et si Valérie avait été de Bergerac, elle nous raconterait les légendes de ces mondes où de la matière, de la lumière nait l’univers. Promenez-vous dans ces équilibres, plongez-vous dans ces mers limpides et mauves, ces terres fertiles et mordorées, absorbez l’air élémentaire, le souffle qui vous abrase, vous brûle de ces déserts ou la glace stellaire qui pourtant porte la vie. Jérémy Maranne

Acryliques : Géométries variables
9 oeuvres


D’Euclide à Gauss en passant par Sommerville ou Poincaré ou – pour le dire autrement – de Giotto à Klee en passant par Sonia Delaunay, Calder ou l’Op’art, la « géométrie » façonne notre regard et nous ne pouvons nous détacher de ces formes qui tendent à représenter … ou ne pas représenter. Parfois, elles dévoilent un visage, d’autres fois, le plus souvent, elles ouvrent des imaginaires en partageant des espaces superposés, délimités comme autant d’univers. Il suffit de se laisser prendre par l’é

Acryliques : Empreintes
5 oeuvres


Peintures acryliques abstraites sur châssis entoilée.

Acryliques : La Trirème Irradiée
19 oeuvres


Acryliques illustrant le recueil de Philippe Milbergue "La Trirème Irradiée". La Trirème Irradiée avance sans réserve, précédant la flotte de mon empire d’ennui et de fureur. L’ennui est une révolte absolue à courtiser jusqu’à l’extrême pour en goûter la fureur comme autant de battements mauresques, rythme du sourd qui sourd de ma peau maritime au fil de cette structure fixe dix-huit fois répétée. Il n'y a qu'une mer, son visage est multiple et ses pièges Silène ou ses pièges Sirènes. Philippe M

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